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  • : Site comprenant des comptes-rendus de lectures de livres: recueils de poésie, de nouvelles, romans, essais. Et diverses informations sur la vie littéraire.
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4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 18:25
Wellens-S-vignette.jpg
Serge Wellens
ou quand la voix d’un poète s’éteint…


Serge Wellens aurait eu quatre-vingt quatre ans en août prochain. Né le 11 août 1927 à Aulnay sous Bois en Ile de France, il est mort subitement dans la soirée du samedi 30 janvier 2010, à l’hôpital de La Rochelle où il venait d’être admis à la suite d’une mauvaise chute. Serge Wellens, c’était un poète « à hauteur d’homme » un humaniste. C’était l’ami depuis cinquante ans de bernard Mazo, qui lui rend hommage.

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7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 00:35
Jacques Dupin ou « l’injonction silencieuse » du poème
Né en 1927 à Privas, dans l’Ardèche qu’il quittera en1945 pour s’établir à Paris, Jacques Dupin puDUPIN-Jacques-200-px.jpgblie son premier recueil, "Cendrier du voyage" , en 1950 - il a vingt-trois ans - chez le mythique éditeur Guy Lévis Mano.
René Char ne s’y trompe pas en écrivant : « Jacques Dupin paraît avec un corps bien à lui et une révélation non moins personnelle. » ; en effet, un poète est né, dont la trajectoire poétique s’engageant « sur un chemin de crête » qu’il n’a jamais cessé d’emprunter, poussé comme en avant de lui-même par ce qu’il nommera : « une injonction silencieuse », va devenir une des grandes voix de la poésie contemporaine.
En 1999, paraissait dans la collection Poésie/Gallimard "Le Corps clairvoyant" qui regroupait en un seul volume les quatre premiers recueils de poésie de Jacques Dupin : "Gravir" (1963), "L’Embrasure" (1969) , "Dehors" (1975) et "Une apparence de soupirail" (1982).
Aujourd’hui, un second volume de Poésie/Gallimard reprend, sous le titre de "Ballast" , les trois recueils composés les vingt années suivantes et tous parus chez POL : "Contumace" , où figure "Ballast" , "Echancré" et "Grésil".
Bernard Mazo l'a lu

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7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 00:15
Claude Saguet : portrait
Une écriture tragique
Le poète toulousain Claude Saguet qui nous a quittés en septembre 2005, avait 69 aSaguet-Claude-vignette.jpgns. Discret, il avait peu publié - une dizaine de recueils - mais son écriture ramassée, d’une violence contenue, l’avait fait remarquer dès son premier recueil, "L’œil déserté" (1971, réédition en 1980 au Dé Bleu éd.). Lui ont succédé "Xambo et les Barbares" (1980), "Terres de fièvres" (1984), "Le sud" (1991), "Distances" (1992), "Profils" (1994),"L’espace de la nuit" (1996).
Le dossier Saguet est complété par un poème mis en musique et chanté par Martine Caplanne, que l'on peut écouter en ligne, ainsi que par un choix de poèmes

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 17:18

Amina SaïdSAID-Amina-250px

« L’Absence l’Inachevé »
Amina Saïd, poétesse et traductrice, est née à Tunis et vit à Paris. Cette double appartenance aux deux rives de la Méditerranée explique peut-être, ainsi que le suggère Ghislain Ripault, « une dialectique constante des complémentarités et des séparations (qui) hante cette poésie ».
Elle vient de publier « L’Absence l’Inachevé » aux éditions de La Différence. Portrait et lecture du recueil, ainsi que de « Gisements de lumière »

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4 octobre 2009 7 04 /10 /octobre /2009 22:40
Jean-Max Tixier
Un écrivain
chargé d’automnes
Jean-Max Tixier vient de mourir à 74 ans. Il était romancier, nouvelliste, critique, et surtout poète. Son dernier recueil « Les silences du passeur » s’inscrivait dans la confrontation avec « l’extrémité de la lande ». Mais c’est peut-être avec son roman, « L’Homme chargé d’octobres », évoqua nt un écrivain en fin de vie, qu’on approche au plus près cet écrivain prolifique.


Lire son portrait ici

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12 août 2009 3 12 /08 /août /2009 19:37
Gaston Puel
ou la passion d’un « livreur »


Gaston Puel est l’auteur d’une trentaine de recueils dont « Ce Chant entre deux astres », « L’Amazone », « L’incessant, l’Incertain », « L’Ame errante », ou encore le récit du « Journal d’un livreur » par lequel il revisite son enfance. Passé par le surréalisme, il fut aussi l’ami, et souvent l’éditeur, de nombreux poètes et de peintres tels Joë Bousquet, René Char, André Breton. Pierre Albert-Birot, Pierre-André Benoit, Jean Grenier, Jean Malrieu, Pierre Gabriel, René Nelli, Arp, Bajen, Ernst, Carrade, Miro, Dax, Dubuffet, Ubac, Tapies, Staritsky, Héraud, etc.

A lire, un portrait, des notes de lecture, un entretien et un choix de poèmes

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4 août 2009 2 04 /08 /août /2009 21:34
La vague à l’âme et le mal des îles

La mer, et surtout les îles, sont au cœur de la poésie de Philippe-Marie Bernadou, qui a également consacré un roman chez l’Arpenteur-Gallimard à un des lieux qu’il affectionne : « Cadaqués, aller simple »
Ce voyageur jamais lassé s’écriant « Heureux îliens, qui ne peuvent fuir », a le sens de la déréliction. Il le rappelle de manière explicite avec son « Cadaqués… », sorte de voyage initiatique pour apprendre l’effacement, assumer l’oubli qui guette.

Pour lire l'article, cliquer ici
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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 00:19

Jean-Claude Martin

Dire la fragilité de nos vies

La poésie de Jean-Claude Martin est fragile et fugitive. A peine croit-on la saisir, veut-on souligner une phrase sensible, qu’on se demande déjà ce qui s’y est joué à la lecture. Un peu d’intime partagé, sans doute, un petit vertige, une note bleue… C’est toute la magie de ses poèmes en prose, dont la dernière poignée s’intitule « Le beau rôle ».

 

Pour lire un portrait et une étude, cliquer ici

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25 juillet 2009 6 25 /07 /juillet /2009 18:51

Sylvia Plath vue par Valérie Rouzeau

"Un galop infatigable"


« Je ne parlerai plus jamais à Dieu », s’était promis l’enfant Sylvia Plath après la mort de son père. Et c’est bien dans la douleur et la tension, sujette constamment à la dépression, que la poétesse américaine a vécu sa courte vie jusqu’à son suicide en 1963.

Sa vie blessée, et surtout son œuvre d’une grande vitalité, une autre poétesse, Valérie Rouzeau, les a revisitées avec beaucoup d’empathie.

Pour lire l'article, cliquer ici

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25 juillet 2009 6 25 /07 /juillet /2009 02:00


Quand le coeur et les mots boîtent
Valérie Rouzeau est une jeune poétesse dont on a beaucoup parlé ces dernières années, de façon élogieuse et justifiée, car on y reconnaît le talent indubitable d’un auteur qui sait forcer les mots sans forcer la note : des recueils tels que "Chantiers d’enfance" (La Bartavelle, 1992), "Pas revoir" (Le Dé Bleu, 1999) ou "Va où" (Le Temps qu’il fait, 2002) ont imposé une écriture qui renoue intimement avec l’enfance à travers la gaucherie de phrases trébuchant dans la douleur et la confusion des sentiments.





 Lire l'article sur le site de la revue Texture en cliquant ici



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